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Tous vaccinés, tous fichés… Tous solidaires !



Ça y est, le vaccin s’étale dans la presse, sur nos écrans et se répand sur les bouches des Français abattus par le confinement.


« Vivement le vaccin… Qu’on soit enfin tranquille ! »


La grippe de Wuhan souffle tout juste sa première bougie qu’on nous promet une vaccination en bonne et due forme. C’est un record : l’élaboration d’un vaccin nécessite au minimum une dizaine d’années. Trente ans pour le vaccin contre la varicelle et la grippe saisonnière, seize ans pour le vaccin contre le rotavirus et seulement cinq ans pour le vaccin contre Ebola… Déjà une prouesse à l’époque.


Quant au virus actuel, il était totalement inconnu des chercheurs européens au début de l’année et s’est révélé imprévisible. Un pneumologue en « unité Covid » me confiait qu’une personne fragile pouvait succomber du jour au lendemain sans signe annonciateur. Ainsi, la grippe de Wuhan aurait provoqué « la pire pandémie en plus d’un siècle », selon le PDG de BioNTech Ugur Sahin. Malgré ce défi immense qui a mis sur la touche les savants du monde entier, on aurait donc conçu un remède miracle…


Un prodige n’arrivant jamais seul, l’Union européenne a assuré l’industrie pharmaceutique européenne de sa protection : en cas d’effets secondaires, les laboratoires seront protégés du risque financier et indemnisés. D’un côté, nous subissons un étatisme débridé qui remet en cause l’autorité parentale (en matière d’instruction et de santé), censure à tout va et lamine la petite propriété. D’autre part, une sacro-sainte liberté d’entreprendre permet aux gros de l’être encore plus et de se voir offerts tous les marchés sous la bienveillance de l’Etat-nounou.


Dans le privé comme le public, les « gros » (bureaucrates et multinationales) s’entendent sur le dos des peuples, bientôt soumis à tous les contrôles possibles : impôt prélevé directement sur nos comptes après la dématérialisation de la monnaie, liberté de circulation réservé aux citoyens à jour de vaccination, scolarisation obligatoire pour tous… L’obligation vaccinale ne sera pas imposée par des militaires revêtus de masque à gaz, mais par des réglementations sournoises à chaque instant de notre vie.


Comme l’a recommandé Christophe Barbier, de L’Express, « instaurons une règle : si vous n’êtes pas vacciné, vous ne pouvez plus aller au restaurant, au théâtre, prendre l’avion (…) Il faudra avoir son carnet de vaccination comme un laissez-passer de la vie en société ». D’autre part, depuis dix ans, l’Institut Pasteur a mis au point une puce capable d’identifier des virus et des bactéries dans le corps humain (communiqué du 20 janvier 2010).


Si l’on croise cette information avec le développement grandissant des ondes, de la 5G en particulier, on mesure combien les moyens de contrôle sont vastes. Nos maîtres n’ayant plus une once de bon sens ni de morale élémentaire, tout ce qui est techniquement faisable sera fait. Il faut envisager l’avenir à la lumière de ce critère affûter nos réflexes communautaires. Les dissidents menacés dans leur travail et leur vie courante devront apprendre, comme les premiers chrétiens, à dépendre les uns des autres pour échapper à la tyrannie de nouveaux Césars.



Julien Langella



Retrouvez tous les samedis, dans le Quotidien Présent, les réflexions inspirées par l’actualité à Julien Langella, cofondateur de Génération identitaire et membre d’Academia Christiana.


5, rue d’Amboise - 75002 Paris Téléphone : 01.42.97.51.30 W W W . P R E S E N T . F R

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Apôtre Trinitaire
Apôtre Trinitaire
Nov 21, 2020

Ne nous laissons pas intimider par ces yens. Nous sommes des lions et les yens craignent les lions. Le mal s'est déjà bien répandu sur nos contrées, dans tout l'Occident, et ceci depuis la naissance du sionisme. Une vaste opération... La pandémie a été arrangée pour apporter un vaccin nuisible et une 5G toute autant délétère... Cette République est naît du démon, de l'Etat Profond. Elle veut nous assujettir, nous retirer nos libertés, que nous trahissions notre foi ! Rendons lui la monnaie de sa pièce, rendons à César ce qui appartient à César !

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