Selon le New York Times, le milieu de la musique classique serait l’« institution la moins diverse du pays », ce qui révélerait un « problème raciste ».
La musique classique est une création de l’homme blanc, c’est indubitable. Ecoutez un peu l’Ouverture 1812 de Tchaïkovski et vous vous prendrez en pleine face toute la puissance et la richesse de la symphonie européenne.
« L’Europe, c’est “La” seule musique concrète qui existe, c’est la meilleure, explique Alexandre Astier, auteur de la série Kaamelott et artiste talentueux, chez les Chinois, on est sur des gammes pentatoniques, c’est marrant deux secondes mais au bout d’un moment… »
Ces propos auraient déclenché la colère des Chinois s’ils n’étaient pas déjà occupés à conquérir Paris par le rachat de bistrots, contrairement aux Malcolm X de pacotille qui pensent améliorer leur sort en suivant les singeries d’une famille de délinquants.
Si l’on incrimine la musique classique, alors que faire des prix Nobel ? Racistes les tournois d’échecs où les Blancs sont omniprésents ; racistes les meilleurs films de l’histoire du cinéma, où les Blancs tiennent le haut de l’affiche ; racistes les cathédrales construites par des mains virtuoses… mais blanches ; racistes la fusée Ariane, les microscopes, la Joconde, l’électricité, la philosophie et autres prodiges que l’homme européen a offert à l’humanité.
« L’humanité a mis un homme blanc dans son moteur », écrivait Louis Pauwels.
C’est une évidence pour qui regarde la réalité en face et consulte l’ensemble des études sur le quotient intellectuel, qui certes ne résument pas en soi la quintessence du génie mais donnent une bonne idée de la performance cognitive des uns et de l’atonie cérébrale des autres.
Quand les moulins à eau fleurissaient au bord des rivières de la France capétienne, les ancêtres des Traoré faisaient construire leurs maisons à base d’excréments par des esclaves raflés chez les cousins d’en face.
On me répondra que l’homme blanc a aussi inventé le totalitarisme. Mais donnez les compétences intellectuelles des Blancs aux cannibales indiens, aux tortionnaires barbaresques ou aux massacreurs du Rwanda, et vous verrez qu’il ne restera plus rien de notre planète après l’assouvissement de leurs fantasmes.
Donnez la bombe atomique au président d’une république bananière africaine et courrez dans un bunker souterrain…
Dieu merci pour la population américaine, les Aztèques ne connaissaient pas les fours crématoires. Si des chefs européens sont parvenus à fédérer leur peuple derrière un idéal spectaculaire, c’est parce que l’homme blanc est doté d’une capacité d’organisation supérieure aux Papous de Nouvelle-Guinée.
On reprochera tout ce que l’on veut au moustachu le plus haï de l’histoire, mais il faudra bien rendre hommage à son savoir-faire logistique. L’homme blanc, même dans l’horreur, est meilleur que les autres. Cependant, avec les mêmes moyens techniques, les autres races auraient déjà éliminé les trois quarts de l’humanité, quand nous autres avons surtout éradiqué des maladies et propagé la créativité dans tout l’univers. Et pour cela, ils peuvent nous dire « Merci ».
Julien Langella
Retrouvez tous les samedis, dans le Quotidien Présent, les réflexions inspirées par l’actualité à Julien Langella, cofondateur de Génération identitaire et membre d’Academia Christiana.
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