Chaque année le mois de septembre est le témoin d’un curieux rituel sans cesse répété. D’une part, il se voit obliger d’assister le temps les vacances dans ses derniers jours ; d’autre part il regarde s’avancer de conserve le cortège de la rentrée. Pour le temps des vacances, c’est une mort sans gloire, pour un défunt pourtant aimé mais qu’on aura bientôt oublié, lui qui s’éteint dans l’indifférence, sans même que le glas puisse lui rendre hommage. Quant à la rentrée, cette r