L’industrie américaine du divertissement est une formidable arme de « soft power », elle façonne les esprits, « colonise l’imaginaire » comme le dit Alain de Benoist, et finit par imposer une certaine vision du monde, un mode de vie, des habitudes de consommation… Cet instrument de propagande est d’autant plus efficace et dangereux qu’il agit de façon douce et « tranquille », simplement à force de répétition, en faisant baigner sa cible dans un environnement visuel, sonore,